La compagnie aérienne gabonaise a annoncé le 26 novembre 2021 qu’elle passait désormais à 10 vols directs par semaine vers Douala et Yaoundé, les deux grandes villes camerounaises.
Selon son dernier programme de vols publié le 26 novembre 2021, la compagnie aérienne gabonaise Afrijet offre à présent plus de vols directs vers le Cameroun. Il s’agit précisément de cinq fréquences entre Douala et Libreville (mardi/ mercredi / jeudi / vendredi / dimanche), deux fréquences entre Yaoundé́ et Libreville (lundi et vendredi), ainsi qu’une fréquence entre Sao Tomé-et-Principe et Douala et deux fréquences entre Malabo et Douala. Soit 10 vols directs au total sur le Cameroun.
«Notre clientèle réclamait, depuis le début de la pandémie de la Covid-19, des vols directs et des solutions de repli en cas de problème avec leur résultat de test PCR. Nous avons donc décidé́ d’augmenter les fréquences et la connectivité régionale (…) Dans le même esprit, nous privilégions des vols directs vers Cotonou pour le lancement de notre ligne Libreville-Cotonou, le 4 décembre 2021, alors que d’autres compagnies ont choisi d’exploiter en multi-stops avec des moyens porteurs», a déclaré l’administrateur d’Afrijet, Marc Gaffajoli, dans un communiqué publié le 26 novembre.
Récemment, la compagnie aérienne a renforcé sa flotte avec l’acquisition de trois ATR 72-600 destinés à remplacer une partie de sa flotte d’ATR 72-500. «Nous avons besoin de ces nouveaux ATR, car le développement de la connectivité dans le golfe de Guinée est vital pour l’essor du commerce et l’intégration communautaire de la zone CEMAC », a notamment expliqué Marc Gaffajoli. Entreprise gabonaise née en 2005 à Libreville, Afrijet est devenue en 2019 la première compagnie aérienne de la Communauté économique et monétaire de l’Afrique centrale (CEMAC). Acteur historique du charter, la compagnie a développé un réseau de transport aérien régulier régional depuis octobre 2016. Certifiée IOSA depuis février 2020, Afrijet emploie 210 salariés au Gabon, au Congo, au Cameroun, au Tchad, en Guinée équatoriale et à Sao Tomé.